La mise en scène de Catherine Schaub sert le texte au plus près pour en restituer toute la pureté. Les comédiens sont comme deux équilibristes en tension qui jouent sur une corde raide. Le parcours pédagogique est une invitation à questionner ce duel pour mieux faire entendre l’ambiguïté qui se joue entre deux êtres qui luttent chacun pour leur reconnaissance de « victime ». Pris à partie, le spectateur devient finalement le seul responsable de son jugement…