Comment la mise en scène de Jean-Louis Martinelli met-elle en lumière la passion (du pouvoir et amoureuse) qui conduit les deux tyrans que sont Agrippine et Néron à leur perte. Les relations familiales et la question du politique sont ici inextricablement liées et les personnages semblent être prisonniers d’un espace qui les déstabilise. Si Junie est la seule à échapper à la tragédie n’est-ce pas parce qu’elle n’est finalement qu’un pur « fantasme » ?